Toi...

Publié le par zagzag

Ecoutes donc ce silence
Fermes donc les yeux
Tout ce monde n'est qu'attirance
Tous rêvent des plus beaux cieux
Un sourire et des larmes
Courir pour fuir et oublier
Les traces et le vacarme
Qu’ont crée ces nombreuses années
Cloitrés dans nos vies si anonymes
Un jour j'ai vu le ciel ensoleillé
Je me suis mis à faire des rimes
Et certains lecteurs étaient émerveillés
J’ai découvert la vie et l'amour
L’humour et la mort
L’émir et l'humeur
Les mares et les mers
Larmes amères
Et puis j'en ai eu marre
Marre de rire, de dire
De me plier à des règles écrites
Je n'avais plus envie d'écrire
Ni de m'en aller aussi vite
Puis tu es venue et j'ai retrouvé gout
Belle comme une princesse
J’avais retrouvé mes atouts
Et tout d'un coup, j'ai connu l'ivresse
Joyeux car les mots s'enchainaient
Dans ma tête, j'étais devenu déchainé
J’enveloppais tes formes avec mes rimes
Je t'embrassais avec mérite
Et je trouvais ça légitime
Un amoureux au bras d'une dynamite
Un excellent souvenir
Un fait relaté avec aisance
Je ne pouvais pas me retenir
Je voulais plonger dans l'ignorance
Je voulais caresser ta peau
Tes formes m'appelaient au loin
Dans ma tête j'étais si haut
J’aurais pu mourir demain
J’étais en extase devant ta joie
Ton corps m'évanouissait toutes ces fois
Où il laissait mes mains se balader
Je te voulais pour moi, pour parader
Je ne pense pas un instant au paradis
Et pourtant c'est un paradoxe
Je te donnais rendez vous tous les mardis
Parfois le jeudi mais c'était de l'intox
De mes poésies, il ne reste que peu de choses
A part ces mélodies en guise de rose
Ce doux parfum de jasmin qui se dégage de ta poitrine
Tu avais le teint de toutes mes voisines
Mais tu étais seule à mes yeux
Unique comme la perle d'un homme heureux
Je te quittais chaque fois sans dire un mot
Je me comportais même comme un marmot
Quelques gouttes glissaient sur ma joue
Comme si je savais que ton départ se ferait un jour....

Publié dans Love

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